Comité scientifique

Léo Belzile
HEC Montréal

Léo Belzile est professeur adjoint au département de sciences de la décision à HEC Montréal et membre du groupe Statlab. Il est également un membre actif de la Société statistique du Canada (SSC).

Il a obtenu son doctorat de l’EPFL en 2019 sous la direction du prof. Anthony Davison et est spécialisé dans l’analyse des valeurs extrêmes, notamment l’implémentation logicielle, la modélisation spatiale et les méthodes bayésiennes et basées sur la vraisemblances pour la modélisation des événements rares.

Joel Kamnitzer
Université McGill

Joel Kamnitzer est un professeur à l’université McGill. Il est membre de LACIM et membre associée de CIRGET.

Il a fait son doctorat à UC Berkeley en 2005. Puis, il est devenu un chercheur postdoctoral à MIT et à UC Berkeley. En 2005, il a commencé un poste à l’université de Toronto, et il a déménagé à McGill en 2022. Il était un conférencier invité à l’ICM en 2022, et cette année, il est devenu un membre de la Société royale du Canada.

Son domaine de recherche est la théorie des représentations. Surtout, il s’intéresse aux constructions géométriques (des variétés de carquois et des grassmanniennes affines) et leur relation avec la combinatoire algébrique et la physique théorique (la théorie de jauge supersymétrique).

Giovanni Rosso
Université Concordia

Giovanni Rosso est professeur adjoint à l’Université Concordia et membre du groupe Théorie des nombres de Montréal.

Auparavant, il était chercheur postdoctoral Herchel Smith au DPMMS à Cambridge, où il a co-organisé le séminaire sur la théorie des nombres avec Jack Thorne, et chercheur au Pembroke College. Avant cela, il a été visiteur à l’Université de Columbia grâce à une bourse de voyage FWO. Il a complété son doctorat en mathématiques à la KULeuven et Paris 13, sous la direction du prof. J.Nicaise et le prof. J.Tilouine, précédemment, il était étudiant à ALGANT.

Son sujet de recherche est la théorie des nombres. Il a travaillé sur la dérivée des fonctions L p-adiques pour le carré symétrique d’une forme modulaire dans différents cas : ordinaire, à pente finie ou ordinaire sur un corps totalement réel. Il généralise maintenant ces résultats aux formes de Siegel et les applique à l’étude de la conjecture principale.

Alina Stancu
Université Concordia

Alina Stancu est professeure de mathématiques à l’Université Concordia, et membre du laboratoire d’analyse du CRM, travaillant dans le domaine de l’analyse géométrique.

Avant de rejoindre l’Université Concordia, elle a occupé des postes de boursière postdoctorale NSF à l’Université Case Western Reserve, de chercheur associé à l’Institut Courant et de professeur adjoint à l’Université du Massachussetts, Lowell. Elle a été directrice de l’Institut des sciences mathématiques (2015-2018), membre et présidente de plusieurs comités de la Société mathématique du Canada et a participé à plusieurs activités de sensibilisation.

Ses recherches portent sur la géométrie convexe et différentielle, en particulier sur les problèmes de type isopérimétrique, les inégalités affines et les flots par courbure.